C’est par un courrier de la Banque Migros comportant des explications en anglais qu’un lecteur neuchâtelois a découvert qu’une partie de ses économies était en train de se volatiliser. Ne parlant pas la langue de Wall Street et sans réponse de la banque, il a demandé des explications à notre rédaction.

Le 11 décembre 2024, la banque l’informait en deux lignes en français que &laquo...