Après le coup de mou du printemps, la conjoncture semble se reprendre quelque peu, mais avec beaucoup de timidité. Au 2e trimestre, la croissance avait plongé à 0%, signifiant une phase de stagnation de l’économie, après le ralentissement des trois premiers mois. La responsabilité en incombait principalement à l’industrie, alors que la consommation des ménages soutenait la marche des affaires.

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